OVNI à Bugeat, 1954 Corrèze

OVNI à Bugeat, 1954 Corrèze

OVNI ou hélicoptère ?

Bugeat (Mourieras)  Corrèze (19)
Date d'observation : 10 septembre 1954 Heure : 20:30 heures
Type d'observation: Visuel proche avec personnages Nbre de Témoins: 1
Au lieu dit Mourieras, le témoin, cultivateur, en rentrant des champs rencontra à 1500 m de son habitation dans un chemin entre deux haies, un individu de taille normale, coiffé d'un casque marchant vers lui. Grande surprise de part et d'autre mais le témoin inquiet, esquissa un geste de défense avec la fourche qu'il portait sur l'épaule. L'individu s'avança rapidement vers lui, souriant, les mains tendues, pour le convaincre de ses bonnes intentions. Tout en prononçant des paroles incompréhensibles il saisit les mains du témoin et les lui serra avec chaleur. Puis, avant que le témoin ne soit revenu de sa surprise, il enjamba le talus bordant le sentier et sauta dans un engin bizarre ayant la forme d'un gros cigare métallique de 3 à 4 m de long. L'appareil qui n'était pas éclairé décolla à la verticale en émettant un curieux bourdonnement de ruche, passa sous les fils à haute tension et disparut vers l'ouest. 

Voici les propos de Marc ORLIANGES en 2001 à propos de Antoine MAZAUD (ce dernier étant le témoin direct).

extrait d'un journal municipal : année 2001 N°26 / 4ème trimestre 2001 LE BUGEACOIS (MAIRIE DE BUGEAT)

" [ Le numéro (25) (en 2002) du journal municipal BUGEACOIS ] a fait état, sous le titre " le 10 septembre 1954, un extraterrestre en visite à BUGEAT " de la rencontre d’Antoine MAZAUD avec quelqu’un et quelque chose. Ceci fait partie de mes souvenirs.... J’Y ÉTAIS ! Ou presque. LA MONTAGNE dans sa relation de l'événement indiquait que Antoine MAZAUD s’était entretenu sur la route avec un voisin et son fils. Le voisin était mon père, et donc le fils : moi. Cela se passait au lieu-dit "Les Fonfreydes" à la limite des communes de BUGEAT et TOY-VIAM. Mon père et moi revenions en vélo de chez ma grand-tante à La Bâtisse de TOY-VIAM. Antoine MAZAUD venait de tourner du foin, et la fourche sur le dos, remontait vers Mouriéras. Après quelques propos anodins, et le jour baissant, nous nous séparions, nous en vélo par la route, lui à pied par le chemin qui traversant le plateau "des Piloux" regagnait directement Mourièras par le chemin du Mazaud. N’en déplaise au journaliste, ce n’était pas une lande de genêts et buissons épineux, car ce plateau a toujours été et est encore travaillé, présentant une surface plane, d’une superficie importante, propice à un atterrissage. Antoine MAZAUD, traversant notre plantation, avant le plateau, fut pris d’un besoin subit et "posa culotte" (ça un journaliste ne peut l’écrire). C’est en se relevant, qu’il se trouva nez à nez avec un homme habillé comme il est décrit (vêtement et bonnet collant de teinte sombre). Antoine était grand et fort, brave, n’ayant pas froid aux yeux, mais... la culotte à la main, il est dur de tenter un geste d’attaque ou de défense. Ils se sont donc "toisés", et l’individu inquiet sur le parti à prendre, s’est alors approché et .... l’a embrassé sur la bouche, avant de se retourner et partir. Notre Antoine a fini de se rajuster, repris sa fourche et repris son chemin, il a alors été attiré par un bourdonnement, et levant les yeux, il a vu, non pas comme l’ont dit les journalistes en mal de papier " un engin de forme allongée comme un cigare " mais une COUADIERE ! Explication pour nos plus jeunes : la couadière était l’étui en bois, ou plus généralement dans nos régions, une corne de vache que le faucheur pendait à sa ceinture pour mettre dedans la pierre à aiguiser sa faux.

Arrivant à Mourièras, Antoine n’a rien dit, mais sans doute troublé, son comportement inquiétant son épouse, celle-ci a réussi à lui faire avouer, son expérience, bien sûr sous le sceau du secret.... Quatre jours après toute la France et le monde entier savaient. Autant je me suis souvent passionné pour les OVNIS et rencontres du 3° type, dévorant de nombreux ouvrages, autant dans le cas MAZAUD, il parait curieux 1 - que le costume décrit ressemble étrangement à l’uniforme des soviétiques tel que largement diffusé peu d’années après par les photos de GAGARINE ; 2 - le baiser sur la bouche, typique également ; 3 - Une corne à l’horizontale ressemble étrangement au profil des hélicoptères de cette époque dont on ignorait l’existence en France et à plus forte raison à Mouriéras. Pardon pour le rêve. Antoine a vu un homme, ni petit, ni macrocéphale ni vert ; et une couadière ne laissant aucune des traces relevées dans les cas d’atterrissage d’OVNI. Peut-être notre étrange pilote avait-il lui aussi été pris d’un besoin subit le contraignant à un atterrissage en rase campagne... Marc ORLIANGES. "

https://web.archive.org/web/20050528075744/http://perso.wanadoo.fr/jean-pierre.mourieras/le-bugeacois-26.htm

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